Le coronavirus Sars-Cov2 (covid-19) continue de sévir dans plusieurs zones du monde selon les régions et les pays.
Au moment où de nombreuses questions se posent sur les campagnes des vaccinations dans plusieurs pays, avec de fortes tensions sur les quantités de doses des vaccins disponibles, et que les populations attendent les résultats rapides sur les premières vaccinations, cette étude présente la situation comparative des évolutions en sept mois, entre le 16/09/2020 et le 16/04/2021, soit entre la sortie de la 1ère vague après l
été 2020 et le milieu de la 3ème vague. Les données comparent les évolutions depuis le début de la 2ème vague jusquà la  3ème vague actuelle de la pandémie, telle qu’elle est vécue notamment en Europe et en Amérique. Pour permettre au grand nombre une lecture plus aisée, la présentation est réduite au texte explicatif essentiel et aux tableaux synthétiques.

Introduction

     L'étude menée fournit les données comparatives entre le 16 septembre 2020 et le 16 avril 2021. Elle intègre les situations des pays développant les vaccinations depuis décembre 2020 jusqu’à cette date. Les données des vaccinations étant disparates, entre les pays ayant terminé l’injection de la 2e dose et ceux qui démarrent la 1ère dose, nous ne les incluons pas spécifiquement dans cette courte étude. Aussi, nous évaluons les impacts humains de cette pandémie entre ces deux dates. Les données sont rassemblées dans notre Panel100 recensant 100 pays de tous les continents, et représentant 89,4% des 7,780 milliards d'humains dans le monde (soit 6,952 milliards). Nous avons adopté une démarche scientifique à partir des données disponibles constituées. Nous analysons les données brutes et les résultats de calculs pour les indicateurs permettant de relativiser ces données par rapport à la population de chaque pays.

     La photographie mondiale de la Covid-19 distingue 5 parties du monde de niveau sanitaire varié face au virus. Nous les appelons «Espaces Covid-19 dans le monde »  :

     L’Europe (27 pays) ; l’Amérique du Nord (2 pays) ; l’Amérique du Sud (17 pays) ; l’Afrique (54 pays) et le reste du monde (25 pays) représenté principalement par l’Asie (l’Inde, la Turquie, l’Iran, le Pakistan, l’Indonésie, la Chine, le Japon… et la Russie) à laquelle s’ajoutent l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Ce sont ces pays retenus, extraits de notre Panel 100, qui nous permettent d’effectuer des comparaisons d’évolutions de la pandémie entre les espaces covid-19 dans le monde.

     Aussi, le tableau suivant synthétise la situation du monde face à la 3ème vague de la covid-19 au soir du 16/04/2021. Ce tableau synthétise les données agrégées de 125 pays du monde.

     L’Afrique semble beaucoup moins meurtrie que les autres divisions du monde, mais les données demeurent disparates avec une fiabilité très relative. La mortalité cumulée dans 25 pays du reste du monde, principalement l’Asie, reste plus faible (avec une part de 20%) que celle des autres divisions du monde à l’exception de l’Afrique (4%). Cependant, si les données sont relativement transparentes en Europe et en Amérique du Nord, il ne semble pas que cette transparence d’information et la rigueur dans la collecte des données soient partagées à travers le monde. La situation s’est très singulièrement dégradée dans de nombreux pays d’Amérique latine, où 17 pays retenus dans notre Panel 100 sur cet espace covid-19, représentant 8% de toute la population mondiale, pèsent 29% de la mortalité covid-19. Aussi, le Brésil, le Mexique, l’Argentine, la Colombie et le Pérou ont déjà enregistré plus de 55.000 morts chacun.

1- L’état du monde face au covid-19 au 7 avril 2021

- 140,923 millions de personnes infectées par le virus du covid-19 dans le monde (soit 1,8% de la population mondiale). Ce nombre est en constante progression.

- 3,017 millions de personnes décédées depuis le début de la pandémie (soit 2,1% des personnes contaminées et 0,04% de la population mondiale actuelle). Le monde a déjà franchi un nouveau palier de trois millions de décès covid-19.

- 117,030 millions de personnes guéries enregistrées dans le monde (soit 83,1% des personnes contaminées. Cest un taux de guérison moyen mondial qui sest progressivement amélioré au cours de la 2e vague).

- 20,876 millions de malades enregistrés ou personnes asymptomatiques testées positives à la covid-19 et susceptibles de transmettre le virus et contaminer les autres (soit 14,8% des personnes contaminées dans le monde). Ce chiffre est légèrement en baisse par rapport au début du mois d’avril 2021, car les guérisons sont en augmentation.

     La 3ème vague dans laquelle plonge le monde actuellement, au printemps 2021, touche tous les pays. Certains tentent de s’en sortir par des campagnes massives de vaccinations, d’autres poursuivent les traitements et les vaccinations à petite échelle, d’autres encore traitent simplement leurs malades. Il convient de rappeler que la pandémie n’a pas frappé tous les pays avec la même intensité. Nous synthétisons dans les tableaux ci-dessous l’impact comparé de la covid-19 dans le monde, entre le 16 septembre 2020 (début de la 2ème vague) et le 16 avril 2021. Les pays sont classés par nombre de personnes enregistrées décédées au 16 avril 2021. Nous observons alors les évolutions sur sept mois de reprise de la pandémie avec l’accalmie de l’été.

Commentaires sur les tableaux suivants :
¤ Le coronavirus SARS-COV2 est né dans la région de Wuhan en Chine. Jusqu’à la fin de l’année 2019, le monde considère qu’il ne sera limité à la Chine.
¤ Le 24 janvier 2020, la France découvre le premier cas sur son territoire (un Français d’origine chinoise venant de Wuhan). Le virus s'implante progressivement en Europe au début de 2020.
¤ Du 17 au 24 février 2020, une semaine de prière et de jeune est organisée par l’Église Porte Ouverte à Mulhouse. C’est alors le premier cluster connu en France qui se forme, à la suite d’une réunion de plus de 2.000 adultes et des centaines d’enfants. Dès lors, la maladie du covid-19 se propage en France et en Europe.

Nous avons alors considéré que le 17 février 2020 pourrait bien devenir la date de début de propagation de la maladie covid-19 en Europe. Elle ne sera décrétée pandémie mondiale par l’OMS que plus tard, en mars 2020

¤ Le 16 septembre 2020 peut correspondre à la fin de la 1ère vague et le début de la 2ème vague, après les vacances d’été et la rentrée des étudiants dans les écoles, ainsi que le retour de nombreux vacanciers arrivés de plusieurs parties du monde.

Après sept mois de la 1ère vague de la pandémie de la covid-19, nous dressons un bilan mondial au 16 septembre 2020. Ce sont les trois premières colonnes des tableaux.

Après sept autres mois depuis le début proposé de la 2ème vague, nous dressons un autre bilan mondial au 16 avril 2021. Ce sont les trois colonnes suivantes des tableaux.

Les quatre dernières colonnes comprennent les bilans au 16 avril 2021 sur les taux des guérisons enregistrées des malades (guéris par rapport aux personnes reconnues contaminées), les cas de personnes reconnues testées positives à la covid-19 par million d’habitants, les malades ou les personnes asymptomatiques testées positives, et le nombre de morts enregistrées covid-19 par million d’habitants dans le pays. Le classement des 100 pays de notre Panel est alors organisé par ordre décroissant des décès par million d’habitants. Ainsi, avec un nombre de 28.317 décès covid-19 au 16 avril 2021, la Tchéquie arrive bien loin devant les États-Unis qui comptent 579.891 décès, en raison d’un plus grand nombre d’habitants aux États-Unis. Nous privilégions donc les données relatives.

Les trois dernières colonnes comparent sept mois depuis le début de la 2ème vague au sept mois de la 1ère vague :
- si le
facteur de multiplication est égal à 2,0 fois, il y a autant de cas (contamination ou décès) dans la 1ère vague et les sept autres mois de la vague depuis septembre 2021.
- si
le facteur de multiplication est inférieur à 2,0 fois, il y a eu moins de cas en sept mois depuis septembre 2020 que pendant la 1ère vague de la pandémie.
- si
le facteur de multiplication est supérieur à 2,0 fois, le nombre de cas enregistrés du 16 septembre 2020 au 16 avril 2021 est supérieur au cas enregistrés pendant la même équivalente de la 1ère vague de février au 17 septembre 2020.

Ainsi, en Tchéquie, le nombre de décès entre le 16 septembre 2020 et le 16 avril 2021 est 57,9 fois supérieur (58,9-1,0) à celui des décès de la 1ère vague jusqu’au 16 septembre 2020.
Le nombre de décès en
France est 2,2 fois supérieur (3,2-1,0) à celui des décès enregistrés jusqu’au 16 septembre 2020. Cela tranche avec les contestations qui circulent.
En
Allemagne, le même calcul donne le nombre de décès depuis le 16 septembre 2020 supérieur de 7,5 fois (8,5-1,0) celui des décès enregistrés pendant la 1ère vague jusqu'au 16 septembre 2020.
C’est le bilan humain entre la 1ère vague et les vagues que nous connaissons depuis septembre 2020. Il convient de rappeler que cette étude est totalement libre de toute pression extérieure.

Le tableau indique vingt-six pays les plus frappés par la mortalité parmi les trente de plus de 1.000 décès par population d’un million d'habitants. Derrière huit pays d'Europe, viennent les États-Unis, le Brésil et le Pérou, ensuite le Portugal et l'Espagne. Ensuite viennent le Mexique, la Pologne et la Croatie. La France arrive en 17e position dans notre Panel 100. Le nombre de décès a été multiplié par 3,2 en France, alors que cette multiplication est de 58,9 en Tchéquie ; 37,9 fois en Hongrie, ou encore 13,0 fois en Autriche.

      Le tableau rassemble les pays dont la mortalité par million d’habitants au 16/04/2021 est principalement inférieur à 1.000 et supérieure à 400, à l’exception de la Suisse, l’Autriche, la Lettonie et la Bolivie. Parmi ces pays, le nombre de décès a été multiplié par 312 en Jordanie ; 75 en Tunisie ; 58 en Lettonie ; 40 en Uruguay ; 30 en Grèce ; 17 en Estonie. L'Allemagne qui avait été relativement épargnée par la 1ère vague du printemps 2020, a connu un multiplication par 8,5 le nombre de décès entre le 16/09/2020 et le 16/04/2021, contre 3,2 fois en France.

Le tableau rassemble les pays dont la mortalité est comprise entre 50 et 400 par million d'habitants au 16/04/2021. La 3e vague ne crée pas une accélération de mortalité significative au dessus de 10 fois de morts, sauf à Chypre (13 fois). Le pays du continent africain, tels que l’Égypte, l’Algérie ou le Sénégal ont connu une multiplication de décès inférieure à 5 fois.

Les pays de cette dernière partie du Panel 100 enregistrent une mortalité inférieure à 50 morts par million d’habitants au 16 avril 2021, tout en ayant une hausse inférieure à dix fois le nombre de décès en sept mois, à l’exception du Rwanda (14,6 fois et 25 morts par million d’habitants). L’on peut constater que la majeur partie de ce dernier tableau contient les pays du continent africain, hors Cuba, Australie, Corée du Sud, Nouvelle-Zélande, Chine et Taïwan.

Le lecteur aura remarqué que les pays européens font partie du peloton de tête des pays qui ont souffert des trois vagues de la covid-19. Le Royaume-Uni, hors de l’Union européenne depuis le 1er janvier 2021, s’est battu seul pour fabriquer et importer les doses de vaccins pour sa population. Malgré plus de 127.223 décès du ou avec le covid-19, le Royaume-Uni sort de son confinement de quatre mois. La France affiche désormais 100.404 décès et reste en confinement jusqu’au 2 mai 2021. Mais, dès la sortie "des restrictions renforcées", les Français seront amenés à élire le même jour leurs représentants aux collectivités territoriales (les départements et les régions), au cours du mois de juin 2021. Que seront les résultats, lorsque l’on sait que nombre de Français n’ont pas digéré les municipales du 15 mars 2020, la veille du premier confinement qui a démarré le 17 mars ? Vont-ils encore exprimer un vote de protestation ou de défiance contre les choix de leur gouvernement ? Ou vont-ils arbitrer sur leur situation au regard de celle du Royaume-Uni et de l’Italie (116.366 décès), pour ne prendre que les pays de population comparable au sein de la même Europe depuis le début de la pandémie en février 2020. Il convient de rappeler que l’Allemagne enregistre 80.387 décès, suivie de l’Espagne avec 76.981 décès et de la Pologne, avec 61.208 décès au 16 avril 2021, au sein de la même Union européenne. Les politiques sont désormais mis sous pression.

Le livre qui décrit la sociologie électorale française au début de l'année 2020, après les élections européennes de mai 2019, et selon les régions et les départements. Il aborde de spécificités dans les territoires des communes, des intercommunalités et des métropoles au sein de chaque département au sein des neuf régions étudiées : lÎle-de-France, la Normandie, les Hauts-de-France, le Grand Est, la Bourgogne - Franche-Comté, le Centre Val-de-Loire, lAuvergne-Rhône-Alpes, la Provence-Alpes-Côte dAzur, lOccitanie. Cest un outil de travail indispensable aux candidats dans les prochaines élections régionales et départementales dans ces régions.

 

2- Les situations particulières en Afrique

 

     En Afrique du nord (7 pays et 250,28 millions d’habitants), la Tunisie et la Libye présentent des situation toujours préoccupantes. La Tunisie a enregistré 816 décès pour un million d’habitants contre 419 en Libye et 242 au Maroc. La désorganisation de la Libye depuis sa destruction par la guerre de 2011, puis les interactions liées au tourisme et au mouvement des populations en Tunisie et au Maroc ont contribué à ces dégradations sanitaires. Aussi, le nombre de décès a été multiplié par 75 fois en Tunisie ; par 5,3 fois au Maroc et 7,3 fois en Libye, entre le 16 septembre 202 et le 16 avril 2021.

     En Afrique Occidentale (15 pays et 397,21 millions d’habitants), le Cap-Vert pâtit de sa taille pour enregistrer 340 décès pour un million d'habitants qu’il n’a pas. Mais, le nombre de décès a été multiplié par 4,0 en sept mois. La situation dans les autres pays les situe sous le seuil de 100 décès par million d’habitants. Seul le Sénégal et la Gambie (entourée par le Sénégal) enregistrent des décès plus importants en rapport avec leurs populations (65 et 70). En sept mois, le nombre de décès a été multiplié par moins de 5 fois. La situation semble ainsi rester sous contrôle.

     En Afrique Orientale (11 pays et 330,77 millions d’habitants), seul le Kenya se rapproche d’un seuil de 1.000 contaminés contagieux par million (897) parmi les grands pays de la région, suivi de l’Éthiopie (501) et de la Somalie (430). Alors que 7 pays sur les 15 de l’Afrique occidentale ont franchi le seuil de 100 contagieux par million, ils sont également 7 sur 13 en Afrique Orientale, avec une situation plus préoccupante néanmoins au Kenya, en Éthiopie et en Somalie. Le nombre de décès a été multiplié par 14,6 au Rwanda ; par 6,7 fois en Somalie ; par 6,0 fois au Burundi et par 5,6 fois en Ouganda, en sept mois, entre le 16 septembre 2020 et le 16 avril 2021.

     En Afrique Centrale (8 pays et 146,73 millions d’habitants), le Gabon présente un fort taux de contagiosité (1444 cas par million et en forte progression), loin devant le Congo (avec 315 cas sans doute sous-évalués en raison des données irrégulières), mais la taille de Sao Tome et Principe en fait le pays de la plus forte mortalité par million (160 décès). Ailleurs, la situation est loin d’être préoccupante, en comparaison avec les pays d’Europe, d’Amérique ou même nombre de pays d’Asie. La mortalité a été multipliée par moins de trois fois entre le 16 septembre 2020 et le 16 avril 2021.

     En Afrique Australe (13 pays et 213,83 millions d’habitants), seuls le Lesotho et le Botswana ont déjà franchi le seuil de 1.000 contagieux par million d’habitants. Mais, la mortalité par million d’habitants est très forte dans cette région : 905 en Afrique du Sud, 578 en Eswatini, 285 au Botswana, 236 en Namibie, 168 au Comores, 147 au Lesotho et 104 au Zimbabwe. Les décès ont été multipliés par 61,0 fois au Botswana ; par 21,0 fois aux îles Comores, par 20,4 fois  au Mozambique ; par 9,5 fois au Lesotho (pays ayant connu tardivement la covid-19) ; par 6,9 fois au Zimbabwe ; par 6,6 fois en Eswatini ; par par 6,4 fois au Malawi ou encore par 5,5 fois en Namibie. Toute l’Afrique Australe a besoin de s’attaquer très vigoureusement à la covid-19, en menant en parallèle la bataille des traitements pour guérir les malades, et de la vaccination avec un bon vaccin qui a fait ses preuves dans la prévention. C’est la région de l’Afrique la plus touchée par la mortalité et les contaminations (61.887 décès du ou avec le covid-19 contre 39.916 en Afrique du Nord, 7.345 en Afrique Orientale et 5.899 en Afrique Occidentale). Les départements français situés dans cette partie proche de l’Afrique (la Réunion et Mayotte) affichent également les indicateurs de mortalité comparables à ceux des pays de l’Afrique Australe, mais toujours avec une plus forte contagiosité à Mayotte.

     Globalement, les décès du covid-19 dans l’ensemble des pays d’Afrique (117.366 au 16 avril 2021 contre 114.557 au 7 avril 2021 et sur plus de 1,339 milliard d’habitants. Il y a une forte progression de la mortalité due notamment à la situation préoccupante en Afrique Australe). Ces données deviennent comparables à celles du Royaume-Uni (127.225 pour 67,9 millions d’habitants) et, de toutes façons plus faibles qu’en Inde (175.673 décès sur une population comparable de 1,380 milliard d’habitants), qu’aux États-Unis (579.891 décès sur 331,0 millions d’habitants), qu’au Brésil (368.749 décès sur 212,6 millions d’habitants) ou encore moins qu’au Mexique (211.213 décès sur 128,9 millions d’habitants). La situation devient alors comparable à celle de l’Italie (116.366 décès) et proche de celles de la France, avec 100.404 décès et celle de la Russie, avec 104.795 décès. La part de l’Afrique du Sud est déterminante dans la mortalité covid-19 en Afrique (53.663 décès au 16 avril 2021). L’Afrique devrait renforcer ses capacités de traitements des malades avec les médicaments validés qui ont fait leurs preuves sur le continent, et entretenir la pyramide des âges qui en fait le continent le plus jeune du monde, et donc le moins vulnérable face au covid-19. De ce fait, le continent bénéficie d’une forte résistance liée l’immunité naturelle d’une très grande partie de sa population confrontée aux interférences virales. Pendant ce temps, la population vieille des anciens pays industrialisés historiques et des pays industriels émergents continue de souffrir littéralement de la covid-19, et elle reste encore en attente des efforts de vaccination des États pour renforcer la résistance à la pandémie. La sortie rapide de cette crise sanitaire est urgente pour retrouver une vie sociale, redresser les économies effondrées, relancer les échanges internationaux, voyager à travers les pays et renouer avec la vie.


Emmanuel Nkunzumwami
Écrivain - Essayiste


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