L’Afrique face à la pandémie de la covid-19 : évolution entre 2020 et 2021. Critiquée pour les faibles moyens pour faire face à la maladie de la covid-19, vilipendée pour des remontées de données peu fiables dans certains pays, le choc sanitaire, socio-démographique et scientifique ne finit pas d’étonner. Pour comprendre les données de l’Afrique, il faut connaître les modes de vie des Africains, leurs environnements géographiques et économiques, le système-D pour accéder aux revenus et faire vivre la famille, la résistance aux virus et aux bactérie conférée par les rudes lieux naturels de vie, et la bataille pour la survie des Africains. Tant que l’on est pas alité, que l’on sent des forces de propulsion pour aller travailler et gagner son pain quotidien, l’Africain ne se sent pas malade. Le virus de la covid-19 est venu s’ajouter à d’autres virus existants. Le corps se bat quotidiennement contre ces agressions virales et bactériennes. L’Africain fait corps avec la nature et son milieu de vie ; il résiste pour subsister.
 

I- INTRODUCTION

     Les pays africains n’ont pas été épargnés par la pandémie de la covid-19. Elle s’est manifestée tard et s’est répandue sur l’ensemble des pays du continent au début de deuxième semestre 2020. Néanmoins, dès le mois d’avril 2020, soit un mois après l’Europe, de nombreux pays appelaient au secours pour obtenir les équipements de base : masques, respirateurs, surblouses, organisation des unités hospitalières pour le suivi des malades de la covid-19, formation des médecins à cette nouvelle crise sanitaire, etc. Dans un premier temps, les Africains ont littéralement abandonné les efforts de traitements à partir des médicaments existants, notamment utilisés contre le paludisme et d’autres virus dont ils sont familiers, et se sont tournés vers la Chine et les pays occidentaux pour se mettre à leur rythme et à leur diapason : prise en charge des malades, consignes sanitaires (masques ; lavage des mains, y compris pour des populations en zones rurales où l’eau est une denrée rare ; distanciation physiques ; confinement ; couvre-feu ; attente d’éventuels vaccins homologués par les États-Unis et l’Union européenne. C’est l’ouverture de la dépendance totale à l’offre des pays riches occidentaux. Quelques tentatives de traitements africains ont été, soit sabotées telle que l’Artemisia au Madagascar, ou n’ont pas été validées par les autorités locales au Cameroun ou l’apivirine au Burkina Faso et en Afrique Occidentale. C’est dans ce contexte tendu que l’Afrique a abordé la deuxième vague de septembre-octobre 2020, après le départ des touristes venus des pays Occidentaux ou des pays Orientaux. L’on peut alors imaginer aisément que les libres déplacements des personnes infectées, arrivées pendant l’été 2020, ont accéléré les contaminations en Afrique, principalement dans les principaux pays touristiques : Afrique Australe, quelques pays de l’Afrique Orientale, quelques pays de l’Afrique Occidentale, le Maroc et la Tunisie en Afrique du nord. Ces pays ont été durement frappés par la deuxième vague jusqu’à la fin du premier trimestre 2021. La troisième vague, démarrée à peine avant l’été ainsi que la quatrième vague de la rentrée de septembre 2021 ont rudement frappé l’Afrique et l’Amérique latine beaucoup plus que l’Europe qui faisait désormais face à l’émergence du variant Delta. Aujourd’hui, ce dernier variant qui a ravagé de nombreux pays est accompagné par le nouveau dernier, Omicron, moins dangereux mais plus contagieux, selon les spécialistes. Ce sont alors ces deux variants qui ont ouvert la cinquième vague en Europe, et donc aussi dans le reste du monde et en Afrique d’où il serait venu.

     Dans cette succession des vagues de la pandémie, les pays africains ont surtout été violemment secoués par la deuxième et la troisième vague, et quelque peu par la quatrième vague. Aussi, la mortalité qui était encore maîtrisée et relativement faible au cours de la première vague de 2020, s’est fortement accélérée dans plusieurs pays avec la troisième vague. Pour garder les bases des comparaisons internationales avec les autres pays de notre Panel130, dont les 54 pays du continent africain, nous avons gardé le périmètre annuel. Nous comparons les indicateurs (contaminations, décès, guérisons, maladie et vaccination) entre l’année 2021 et l’année 2020.

 

2- LES ÉVOLUTIONS COMPARÉES DES PAYS AFRICAINS, RÉGION PAR RÉGION ET PAYS PAR PAYS, ENTRE 2020 ET 2021

1°- L’Afrique du Nord a globalement enregistré 2.770.530 personnes atteintes par le covid-19 au 31 décembre 2021. Par rapport à 2020, les contaminés ont été multipliés par 2,9 en 2021. Elle a donc relativement résisté aux troisième et quatrième vagues, avec 78.353 décès attribués au covid-19 (soit 3,1 fois en 2021 par rapport à 2020), en comparaison avec une population de 250,3 millions d’habitants. Ce nombre reste très faible en comparaison avec les grands pays européens (Allemagne, France, Italie, Royaume-Uni), et nettement plus faible que dans de nombreux pays d’Amérique latine. Le nombre de guérisons en 2021 a été multiplié par 3,3 fois, indiquant que ces pays ont commencé à maîtriser la pandémie, avec seulement 130.855 personnes déclarées guéries au 31 décembre 2021. Par conséquent, le nombre de malade a légèrement baisse de 5% en 2021 par rapport à 2020. Malgré ce tableau général positif, le nombre de malades a été multiplié par 2,5 en Égypte et par 2,1 en Algérie. Quant à la vaccination, le Maroc (avec 1.362 doses pour mille habitants) et la Tunisie (1.019 doses pour mille habitants) semblent y avoir recouru pour réduire la mortalité très élevée dans ces pays au regard de leur population. Enfin, l’Afrique du Nord pèse 18,7% de la population africaine, mais elle affiche 34,3% des décès attribués à la covid-19.

Tableau des évolutions comparées des pays de lAfrique du Nord face à la covid-19, entre 2020 et 2021. L'on voit que les guérisons se sont accélérées dans tous les pays de la région, sauf en Égypte et Algérie. Un espoir de vaincre totalement la pandémie est donc permis, avec une baisse globale de 3% de malades, tirée par la Libye (baisse de 75% des malades entre 2021 et 2020), le Maroc (67%) et la Tunisie (83%)
 

2°- L’Afrique Occidentale affiche une faible mortalité de 10.235 décès au 31 décembre 2021, soit une multiplication par 3,2 le nombre de décès enregistrés au cours de l’année 2020. Les contaminations enregistrées ont été multipliées par 3 fois entre 2020 et 2021 et s’élèvent à 735.480 cas. Le nombre de personnes enregistrées comme guéries est affiché à 667.074 au 31 décembre 2021, a été multiplié par 3,1 fois, tout comme le nombre des personnes considérées comme malades qui s’est élevée à 58.171, soit une multiplication par 2,7 fois. L’on sait qu’à ce niveau des chiffres officiels, il peut y avoir débat. C’est le choc culturel et scientifique des experts. En effet, la population africaine est globalement jeune, avec près de la moitié des populations constituée des jeunes de moins de 20 ans. Par ailleurs, une forte composante est restée dans les territoires ruraux. Enfin, les Africains sont habitués à se soigner par les plantes locales, car nombre d’entre eux vivent dans les zones fortement marquées par des bactéries et des virus divers, qui ont contribué à créer des interférences virales et à maintenir en veille les capacités d’immunité naturelle. Alors que les experts des autorités occidentales s’ingénient dans la comptabilité la plus précise possible des cas contaminés, qu’ils soient asymptomatiques ou ayant développé la maladie, et mettent à disposition des lits dans des hôpitaux pour le suivi des malades, quel que soit le niveau de gravité, nombre d’Africains raisonnent sur leur capacité à poursuivre le travail pour leur survie. Ensuite, d’énormes étendues de territoires où l’État offre des services inégaux, affaiblissent la fiabilité des données exhaustives. Aussi, dans les capitales et les grandes agglomérations, l’approche quantitative est proche de celle de l’Occident, mais la fiabilité pourrait baisser au fur et à mesure que l’on progresse vers les territoires ruraux les plus éloignés des centres urbains. Nous gardons les données telles que les autorités locales les ont saisies et transmises, en comprenant que les divers déterminants des infections, de la maladie et de la mortalité sont corrélés avec les conditions de vie, les structures socio-démographiques, la résistance  liée à l’immunité acquise et les traitements fabriqués à partir des plantes.

     En Afrique Occidentale, l’on peut observer des évolutions différenciées selon les pays. Le nombre de malades de la covid-19 a baissé de 55% au Sénégal, de 27% au Mali, de 56% au Burkina Faso, et 85% au Niger ou encore de 31% au Bénin, moyennant les précautions indiquées sur la fiabilité des données, entre l’année 2020 et l’année 2021. Il convient de constater que, dans la même région et sur la même période, le nombre des malades a été multiplié par 12,1 fois au Ghana, par 25,9 fois en Côte d’Ivoire, par 20,5 fois au Cap-Vert, par 14,1 fois en Gambie ou encore par 23,8 fois au Togo. L’Afrique Occidentale pèserait 29,7% de la population du continent et 4,5% des décès liés à la covid-19. Il convient enfin de rappeler que cette région est la plus peuplée du continent, avec plus de 397 millions d’habitants. Le lecteur pourra découvrir chacun des quinze pays de cette grande région africaine.

Tableau présentant les évolutions comparées des quinze pays de lAfrique Occidentale face à la pandémie de la covid-19, entre 2020 et 2021. On remarque que les évolutions du nombre de malades accroît les risques des infections. Dans certains pays (indiqués en rouge), lon dépasse la multiplication par dix de ce nombre, alors que dans dautres (indiqués en vert), il y a eu de fortes diminutions de malades. Aussi, le Sénégal affiche une baisse de malades de 55%,  puis 27% au Mali, 56% au Burkina Faso où une thèse sur laction curative de lapivirine sur les malades de la covid-19 a été soutenue, ensuite 85% au Niger et enfin 31% au Bénin.
 

3- En Afrique Orientale, la situation est comparable à celle de l’Afrique Occidentale sur la fiabilité globale des données, mais l’on peut considérer que les données remontées des pays de l’East African Community seraient plus fiables. Les pays ont exercé d’importants efforts pour mobiliser les populations à la prévention contre le covid-19. Alors qu’en Afrique Occidentale, trois pays avaient franchi la barre de 1.000 décès covid-19 au 31 décembre 2021 (Nigeria, Ghana et Sénégal), ils deviennent cinq en Afrique Orientale (Éthiopie, Kenya, Ouganda, Rwanda et Somalie) à franchir ce seuil. Moins peuplée que l’Afrique Occidentale, soit 24,7% par rapport à 29,7%, le nombre de décès est plus élevé en Afrique Orientale et représente 8,6% des décès covid-19 sur le continent. Une autre caractéristique : le nombre de décès a explosé dans quatre pays. Avec 3.294 décès au 31 décembre 2021, l’Ouganda a multiplié les décès par 13,1 fois en 2021. Le Rwanda les a multipliés par 15,7 fois pour atteindre 1.350 décès. Les autres pays ont également connu cette explosion, mais le nombre des décès reste très faible : 38 décès recensés au Burundi et 76 décès affichés en Érythrée. De même, sur une échelle significative de la population, le Rwanda et le Burundi, affichent respectivement une explosion des contaminations et des malades en les multipliant par 36,2 fois et 221,3 fois. Les autorités pourraient s’interroger sur les causes exogènes de ces fortes croissances. Cependant, au regard des décès enregistrés, le Rwanda et l’Ouganda affichent des efforts remarqués dans les guérisons : elles ont été multipliées par 8,5 fois en Ouganda et par 7,2 fois au Rwanda entre 2020 et 2021.

Le lecteur pourra parcourir le tableau et retrouver le pays désiré.

Tableau présentant les évolutions comparées des pays de lAfrique Orientale face à la pandémie de la covid-19, entre 2020 et 2021. Lon remarque les pays ayant connu une explosion de la mortalité et de la maladie au-delà de leur multiplication par plus de dix. Une interrogation est portée sur le Rwanda dont la mortalité a été multipliée par 15,7 fois pour atteindre 1.350 décès au 31 décembre 2021, alors que le nombre des malades a été multiplié par 36,2 fois. Cependant, il convient de relativiser ces chiffres pour un pays de plus de 13 millions dhabitants. Nous somme très loin en-dessous des valeurs atteintes en Europe Occidentale et en Amérique.
 

4- L’Afrique Centrale est la région africaine la moins peuplée et la plus couverte par la forêt et la savane équatoriales. Elle ne pèse que 11% de la population sur d’immenses territoires tels que la République démocratique du Congo, le Tchad ou encore la République Centrafricaine. En raison de ces étendues, des territoires ruraux ou péri-urbains importants, de la dispersion des populations, et des faibles moyens d’accès à toute la population, les données sont moins fiables qu’en Occident. Cependant, la zone équatoriale est la résidence naturelle des virus et des bactéries, favorisés par le climat. Les habitants sont donc dotés d’une immunité naturelle leur permettant de vivre en présence de ces virus ou de s’en défendre par la médication naturelle par les plantes. Aussi, le résultat de 1,9% des décès du covid-19 sur le continent ne surprend pas (soit 4.225 décès au 31 décembre 2021). Les contaminations se sont multipliées par 3,8 fois, en s’élevant à 281.518 au 31 décembre 2021. De même, les guérisons enregistrées se sont multipliées par 3,7 fois, alors que, même en nombre très faible, les malades se sont accrus de 5,6 fois entre 2021 et 2020. Aussi, les pays menacés par cet accroissement des contaminations sont principalement la République démocratique du Congo (RDC) (où le nombre de malade est multiplié par 10,6) et le Gabon avec 33,7 fois le nombre de malades en 2021. Cependant, les populations de cette région semblent résister au virus de la covid-19, car seuls le Cameroun (1.851) et la RDC (1.205) ont franchi le seuil de 1.000 décès au 31 décembre 2021.

Le lecteur pourra se reporter au tableau pour prendre connaissance des données par pays.

Tableau présentant les évolutions comparées des pays de lAfrique Centrale face à la pandémie de la covid-19, entre 2020 et 2021. Lon remarque que la RDC et le Gabon ont connu une explosion de la maladie au-delà de la multiplication par plus de dix. La vaccination y est encore faible, mais la mortalité attribuée à la covid-19 est très réduite
 

5- L’Afrique Australe est une réelle terre de paradoxe sur le continent. Elle représente 16,0% de la population, mais elle pèse pour 50,8% dans les décès de la covid-19, bien plus que l’Afrique du Nord (18,7% de la population pour 34,3% des décès) qui avait pris de l’avance au début de la pandémie. À elle seule, l’Afrique du Sud est une anomalie en Afrique Noire : elle ne pèse que 4,4% de la population continentale, mais elle parvient à totaliser 40% des décès de la covid-19 en Afrique. Ramenée à sa région australe, elle y pèse 27,7% de la population régionale, mais 72% des contaminations, puis 70% des décès et 53,3% des malades covid-19 de la Région. Placée au carrefour des échanges économiques de l’Afrique Australe et l’Océan Indien, d’une part, et entre l’Occident et l’Afrique Noire, d’autre part, les mouvements des populations entre ce pays, les pays voisins et l’Occident deviennent de puissants facteurs des contaminations. Aussi, l’on relève que le Zimbabwe a multiplié par 15,5 fois les contaminations, par 13,9 les décès et par 13,5 fois le nombre de malades. La Zambie enregistre 12,4 fois les contaminations, multiplie par 9,7 fois les décès et atteint la multiplication par 19,9 fois le nombre de malades enregistrés. Le Botswana a multiplié par 14,9 fois le nombre des personnes contaminées, puis par 61,1 fois le nombre des décès et par 4,7 fois le nombre de personnes encore malades, malgré son deuxième rang des vaccinations en Afrique Australe (935 doses pour mille habitants). Le Mozambique connaît les mêmes difficultés, avec une multiplication par 10,2 fois des contaminations, puis par 12,2 fois les décès et par 17,6 fois le nombre de malades. Malgré le haut niveau de vaccination sur toute l’Afrique avec 1.603 doses de vaccins pour mille habitants, Maurice est parvenu à multiplier par 44,6 fois le nombre de personnes contaminées, par 76,2 fois le nombre des décès et par 38,7 fois le nombre de malades, entre 2020 et 2021. Tout se présenterait comme si le vaccin avait joué un rôle d’accélération et d’aggravation dans cette Île de l’Océan Indien.

Globalement, l’Afrique Australe a connu une multiplication par 4,1 fois les contaminations, puis 3,8 fois les décès et par 4,4 fois les personnes guéries. La situation reste donc tendue face à la pandémie de la covid-19 dans cette région.


3- CONCLUSION

     L’Afrique entière (hors les départements français de la Réunion et de Mayotte dans l’Océan Indien, présentés pour comparer leurs situations respectives et celles des îles voisines du Madagascar, des Comores et de Maurice), tente de contrôler les contaminations. Elles ont été multipliées par 3,5 fois, au même rythme que les décès au cours de l’année 2021. Mais, le rythme croissant des guérisons (multipliées par 3,7 fois entre 2020 et 2021), alors que le nombre des malades n’a été multiplié que par 2,2 fois, dessine un espoir que l’Afrique est dans la bonne voie pour vaincre la pandémie. A défaut des moyens technologiques avancés pour créer ses vaccins, elle peut compter sur les offres de traitements locaux qui produisent des résultats. A chaque dirigeant d’exercer son discernement, d’examiner la situation de son pays entre ce qui n’a pas produit des résultats car souvent inspiré des puissances extérieures et des initiatives locales pour vaincre cette pandémie. Aujourd’hui, avec la virulence du variant Omicron, derrière Delta, les contaminations se multiplient fortement dans les pays vaccinés, car les cas ayant un schéma complet de vaccination contractent la maladie et transmettent le virus ; par ailleurs, les experts en virologie et en infectiologie nous apprennent que la vaccin est injecté pour assurer une protection d’au moins dix ans. Or, les vaccins actuels contre la covid-19 exigent des rappels tous les trois ou quatre mois. Ce n’est pas une opinion ou une expression de rejet ; c’est le principe même du vaccin. Quelqu’un peut-il donner l’exemple récent d’un vaccin qui aurait été injecté trois fois en un an aux mêmes personnes et pour la même infection ?  Cela est totalement contraire aux effets attendus des vaccins. Les pays africains auront-ils les moyens et les ressources pour assurer trois, quatre ou cinq injections de vaccins en 2022 ? N’y aurait-il pas d’autres voies des traitements des malades moins coûteux, plus efficaces, à la portée des pays pauvres ? Les pays africains parviennent-ils à mettre en parallèle les malades et les décès dus aux autres nombreuses infections des régions équatoriales et tropicales, d’une part, et la maladie de la covid-19, d’autre part ? Il faudrait que les gouvernements africains puissent se libérer et sortir de la dépendance à des puissances extérieures détenant les groupes des industries pharmaceutiques ; décider enfin des traitements pour soigner efficacement tous les malades, comme l’on le fait pour toutes les autres maladies connues sur le continent. Posons-nous de bonnes questions : pourquoi, même après la 3ème injection du vaccin en un an, les personnes entièrement vaccinées peuvent-elles encore être contaminées et transmettre la maladie aux tiers, tombent malades, sont reçues dans les services de réanimation, et peuvent toujours y décéder de la covid-19 contre laquelle elles ont pourtant été vaccinées ? Ce n’est pas une opinion ; c’est un constat.

     Réfléchissons tous ensemble sur la réponse efficace et durable pour parvenir à l’extinction définitive de la pandémie en Afrique et ailleurs dans les autres espaces covid-19 dans le monde.

Emmanuel Nkunzumwami

Écrivain-Essayiste
Directeur de Neres Conseil
E-mail :
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