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BONNE LECTURE - BON PARTAGE AVEC VOS PROCHES ET VOUS AMIS - A TRÈS BIENTÔT

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La situation de nombreux pays du monde ne s'améliore pas face au coronavirus (covid-19). On comptabilisait 2,074 million de personnes infectées, 134.073 décès et 509.576 personnes guéries de cette pandémie au soir du 15 avril 2020.

Sur un panel de 92 pays répartis dans tous les continents dans le monde, totalisant 132.765 décès à ce jour du 15 avril 2020 (soit 99% de l'ensemble des morts du covid-19 dans le monde), nous avons retenu 27 pays de l'Union européenne, comprenant le Royaume-Uni et sans Malte. Ils représentent 65% des décès des 92 pays (soit 85.792 morts et 64% des morts du covid-19 dans le monde). Les neuf pays européens comptabilisant plus 500 décès restent l'Italie (21.645), l'Espagne (18.579), la France (17.167), le Royaume-Uni (12.868), la Belgique (4.440), l'Allemagne (3.592), les Pays-Bas (3.134), la Suède (1.203) et le Portugal (599).  Avec 83.227 décès, ils représentent à eux seuls 97% des décès des pays de l'Union européenne et le Royaume-Uni, et 62% de l'ensemble des morts du covid-19 dans le monde. Par ailleurs, notre panel des 92 pays comptabilise 98% des personnes contaminées testées et 98% des personnes guéries (soit 497.562 sur 509.562 cas) dans le monde, au soir du 15 avril 2020.

En Afrique, en dehors de l'Algérie (336 décès), l’Égypte (183) et le Maroc (127) qui déplorent plus de 100 décès, les autres pays se situent à moins de 50 décès. La Tunisie (35), l'Afrique du Sud (34), le Burkina Faso (32), et la République démocratique du Congo (21) ont franchi le seuil de vingt décès du covid-19. Pour prévenir la propagation du virus, les dirigeants des pays doivent pouvoir tester le maximum de leurs habitants, confiner toutes les personnes infectées pour lutter ardemment contre la libre circulation des personnes contaminées, et soigner très rapidement tous les cas qui commencent à s’aggraver. Dans tous les pays du monde, l'application stricte des mesures barrières est indispensable. Fermer les frontières, ensuite commencer par la limitation des mouvements des habitants des capitales et des principales grandes villes des pays deviennent une urgence et un impératif partout en Afrique et dans le reste du monde où le virus commence à sévir. A des degrés de sévérité variables, il est présent dans plus de 100 pays du monde. De nombreux pays comptent encore moins de 100 décès de cette pandémie au 12 avril 2020 (voir le tableau ci-dessous). Mais, mais cette situation est provisoire car elle évolue très vite. Les pays les moins touchés doivent immédiatement mettre en place une stratégie efficace anti-propagation du virus.

Aujourd'hui, ce sont les États-Unis d'Amérique qui présentent le plus grand nombre de décès du covid-19 dans le monde, avec 27.866 décès, suivis de l'Italie avec 21.645 personnes. D'autres pays, notamment parmi les plus industrialisés d'Europe, sont durement frappés par le covid-19, avec plus de 500 décès à la date du 12 avril 2020 (voir dans le tableau ci-dessous) :

Habitués aux antipaludiques et traités aux produits de la famille de la chloroquine (nivaquine, quinine, etc.), les Africains pourraient tirer profit du traitement par l'hydroxychloroquine (Plaquénil) associée à l'antibiotique également connu, l'Azithromycine. C'est la formule du Professeur Didier Raoult, spécialiste mondial des maladies infectieuses et directeur de l'Institut Hospitalo-Universitaire (IHU) de Marseille. En effet, les Africains des territoires ruraux subsahariens sont fortement exposés aux attaques des virus naturels (et même des microbes et des bactéries liés à leurs environnements hostiles) et s'en défendent par le développement des anticorps. Au cours des dernières décennies, des virus "importés" ont été injectés dans la série (VIH, Ebola, etc.). Ils n'en ont pas été décimés selon les prédictions. Néanmoins, dans les zones urbaines où les Africains considèrent que les attributs du développement se lisent dans le relâchement des efforts physiques, la sédentarité, la suralimentation sans élimination des toxines et provoquant la prise inconsidérée du poids, l'abandon de la marche au profit de l'automobile, les maladies cardiovasculaires et pulmonaires, le diabète et le mauvais cholestérol, diverses pathologies lourdes s'abattent sur eux comme en Occident. Ce sont alors les victimes potentielles des attaques de nouvelles souches virales ou bactériennes. Aussi, dans le cas du covid-19, le confinement total et la fermeture des accès devraient s'appliquer aux résidents des grandes agglomérations, d'autant que ce sont ces zones qui reçoivent les touristes potentiellement contaminés. En plus du traitement proposé par le Professeur Didier Raoult, une autre formule africaine est également disponible, l'Apivirine, du Docteur Valentin Agon. Tous ces médicaments ne peuvent être pris que sous surveillance médicale stricte, selon une posologie précise et un contrôle médical régulier pour évaluer l'évolution du virus dans le corps. L'automédication est totalement proscrite.

Les pays africains, longtemps épargnés par cette pandémie commencent à en souffrir. Ils devraient plus particulièrement capitaliser sur les expériences vécus dans les pays les plus durement frappés. Même si ces pays présentent encore moins de 100 cas de personnes testées positives, la mortalité s'accroît très vite. Il serait recommandé de recourir aux traitements indiqués précédemment pour combattre les infections et réduire au minimum la mortalité, en plus des dépistages et des mesures barrières préconisées. Est-il besoin de répéter qu'à ce jour du 15 avril 2020, il n'existe pas de vaccin contre le covid-19. Aussi, les traitements actuellement disponibles restent totalement à la portée financière des habitants et des gouvernements de tous les pays pauvres, notamment en Afrique. 

La vie et la santé sont nos capitaux les plus précieux. Prenez-en tous bien soin pour vous et pour vos proches. #RestezChezVous!


Emmanuel Nkunzumwami
Analyste économique et politique
Écrivain - Essayiste
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