LE COVID-19 : ATTENTION AUX CRIMINELS QUI SE CACHENT DERRIÈRE LE FAUX VACCIN

     Vous êtes toujours nombreux à demander les nouvelles de plusieurs pays sur tous les continents, notamment en Afrique, et le nombre de guérisons enregistrées dans ces différents pays.

     L'Union européenne continue de souffrir particulièrement du Covid-19. Sur un nombre de 66 pays recensés, plus particulièrement frappés par le Covid-19 et dont les cas testés positifs dépassent significativement 100 personnes, dix-neuf pays seulement sur les vingt-huit de l'Union européenne totalisent 50.800 décès connus, soit 70% des décès du Covid-19. Sept principaux pays industrialisés en Europe se situent au dessus de 1.000 décès du coronavirus : Allemagne, Italie, France, Royaume-Uni, Espagne, Pays-Bas, Belgique, auxquels s'ajoutent les États-Unis, l'Iran et la Chine.

     En Afrique et à des niveaux faibles, ce sont principalement l'Algérie (173 décès), le Maroc (80), l’Égypte (78) pour plus de 50 décès. Viennent ensuite la Tunisie (22), la RDC (18) et l'Afrique du Sud (12) pour les pays de plus de dix décès recensés. Les autres pays enregistrant le covid-19 sur leur territoires sont le Cameroun, Maurice, le Ghana, le Kenya, le Nigeria, la Côte d'Ivoire et le Sénégal, avec plus de 100 cas détectés à la date du 6 avril 2020. Pour prévenir contre la propagation du virus, notamment en Afrique où le niveau de contamination du coronavirus est encore faible, le dépistage systématique et régulier des populations, et le confinement des malades pour les soigner, devrait épargner des millions de vies. Pour les malades avérés et dont le corps n'a pas pu éliminer le virus au bout de quelques jours, et bien avant l’aggravation sévère de l'infection, le Plaquénil (Chloroquine) et l'Azithromycine, sous le contrôle strict et vigilant des médecins, produit des guérisons ou une très forte baisse de la charge virale pour permettre ensuite au corps de se défendre.

Les influences extérieures qui s'activent pour répandre le virus en Afrique, à travers les faux vaccins mais vrais poisons, pour justifier leurs interventions machiavéliques devraient être rapidement détectées et mises hors d'état de nuire. Les conditions de vie dures des populations majoritairement rurales en Afrique, ont créé des mécanismes de défense dans le corps pour résister à différentes agressions virales et bactériennes. A ce jour, il n'existe pas de vaccin contre le covid-19. En attendant que dans 12 ou 18 mois un éventuel vaccin voit le jour, l'on devrait soigner les malades avec les protocoles proposés par le Pr Didier Raoult (Hydroxychloroquine et Azithromycine) et le Dr Valentin Agon (Apivirine).

Dans les deux protocoles, il s'agit d'une association d'un antipaludéen et d'un antibiotique. Le protocole du Pr Didier Raoult a été appliqué à 770 malades, et un seul cas est décédé. Soyons pragmatiques, écoutons ceux qui savent et obtiennent des résultats. L'on sait bien pourquoi l'association de l'antipaludéen et un antibiotique fonctionne. L'antipaludéen (éventuellement avec un peu de zinc) bloque la propagation et l'action du virus dans les cellules. C'est donc le rôle de l'Hydroxychloroquine. Mais, le virus entré dans les tissus les dégrade, les abîme et crée des lésions. Des bactéries pourraient profite de ces lésions pour s'introduire. C'est donc le rôle de tueur de ces bactéries que joue l'Azithromycine, un antibiotique. Les deux actions sont également assurées par un autre médicament, l'Apivirine, proposé par le Dr Valentin Agon. Ce sont des formules connues, peu chères, accessibles à tous les petits budgets et à tous les habitants. Mais, elles ne rapportent pas d'argent aux laboratoires pharmaceutiques, qui devraient miser sur la pandémie pour accroître très significativement leurs revenus, à travers le levier du grand nombre de malades. Avec un marché de 1,2 milliard de malades potentiels, l'Afrique offre une excellente opportunité d'affaire pour les laboratoires. Les pays pourront s'endetter pour payer le prétendu vaccin et les médicaments pour les malades. C'est donc un double gain assuré pour les laboratoires pharmaceutiques, d'une part, et pour les banques et les organismes internationaux de financement, d'autre part.

     Vous avez bien suivi les mécanismes de création de la psychose. Le virus apparaît en Chine en décembre 2019 ? Tout de suite, on prédit une hécatombe en Afrique, comme sur un plan déjà préparé à l'avance. Le virus se propage en Europe et fait les premières victimes en masse ? Le discours est de concentrer les efforts sur l'Afrique qui risque d'être rayée de la carte mondiale. Le Pr Didier Raoult propose une formule qu'il a déjà testée à l'IHU de Marseille, et qui produit de réels résultats sur la guérison lorsque les malades sont pris en charge au début de l'infection ? Un mur de contestataires, formé d'experts des plateaux de télévision et des studios de radios, se dresse contre lui à travers les médias et les dirigeants politiques. Il n'y a pas de médicament sûr à 100% et encore moins de vaccin contre le covid-19 ? Alors, il faut commencer immédiatement des essais sur les Africains. Et pourquoi sur les Africains ? Ils n'ont ni masques, ni respirateurs artificiels, ni les moyens de se confiner car ils vivent en communauté, ils se transmettront plus facilement et plus rapidement le virus. Ils n'ont pas assez de médecins, ni une infrastructure hospitalière adéquate. Donc, on peut y tester facilement la "célérité de la mortalité". Les communicants et leurs experts représentant les grands labos pharmaceutiques mondiaux commencent les lobbies auprès des chefs d’État africains pour les persuader d'accepter des financements en vue de permettre des essais de faux vaccins sur les Africains. Le classement commence, entre les "bons" (faciles à corrompre, prêts à collaborer tout de suite, ce sont des leaders d'opinion sur le continent) et les "mauvais, mal préparés" (résistants aux pièges des offres alléchantes des puissants). Certains tombent dans le piège, dès lors qu'il porte le "sceau officiel" de l'ONU, l'OMS, du FMI, de la Banque mondiale, de l'Union européenne, et d'autres organisations internationales reconnues, et qu'il brille de quelques millions de dollars. Mais, qui s'intéresse réellement aux enjeux stratégiques induits par cette crise, aux rapports d'intérêts financiers et à la question de la démographie mondiale (surtout africaine) qui inquiète les puissants ? Éloignons-nous des charlatans et des criminels. Restons en éveil et veillons sur l'Afrique. La vie n'a pas de prix, elle est trop précieuse pour tous les Humains.

Restons très vigilants, appliquons tous les gestes barrières, prenons soin de nos vies et de celles de proches.

Emmanuel Nkunzumwami
Écrivain - Essayiste

Président de Future Afrique Notre Avenir
Mail :
emmankunz@gmail.com

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